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Une rencontre fortuite dans une ruelle sombre - feat Kim


Un petit point s'impose - feat Professeur Chourave

Une simple échappatoire - feat Lola

Une douce soirée du mois de mars - Libre

Travailler oui, mais seule - feat Hastia
Inventaire : version sorcier en gemmes

Avatar : dylan sprayberry
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Luka Oz
Luka OzPoufsouffle
Message« Mon pire cauchemar ? Mon quotidien, ma vie [+16] » « Mon pire cauchemar ? Mon quotidien, ma vie [+16] » Empty- Mar 16 Jan - 17:51
Je n'ai aucun cauchemar, je le vie tous jours    Concoure Rêverie
xxx
« Mon pire cauchemar ? Mon quotidien, ma vie [+16] »


Quel pourrait être mon pire cauchemar que celui que je vie actuellement au quotidien ? Non, pas Poudlard, cette école est pour moi une liberté, une nouvelle manière de respirer. Je parle de ce quotidien que l'on vie en dehors de nos études. Celui où l'on est généralement en présence de nos parents. Les parents des élèves de poudlard ne voient plus leurs enfants pensant presque neuf mois. Ils ont la possibilité de retrouver leurs progéniture en décembre. Mais durant un laps de temps très court.  Ces moments de retrouvailles doivent etre chaleureuses et heureuses. Pour moi c'est ça la "normalité". Le fait de pouvoir passer un tendre moment avec sa famille et profiter d'eux le temps d'une semaine, d'un mois. Pour moi, le retour chez moi représente un vrai cauchemar. La semaine avant les vacances, je ne dors plus, la peur m'envie et prend un total contrôle de moi. Je ne peux pas, je n'y arrive pas à lutter contre elle. Je ne veux jamais rentrer chez moi, je ne veux pas retrouver mon père, ma mère, ma maison. Non, je veux fuir , fuir cette vie-là. Je n'en veux plus ! Mais suis-je réellement maitre de ma vie ? Je ne pense pas.

Voilà, la date de retour tant redouté est arrivé. Dans le train tant d'élève paraissent joyeux. Moi, mon sourire est froid et mon regard est terne. Je veux pas laisser dégager la moindre expression. Je ne veux pas que les autres puisse se douter de la moindre chose sur ma vie personnelle. De plus, ma famille ne supporterait pas un excès de joie, ou un excès de tristesse dans les deux cas, je me ferais réprimandé. Peu importe, je dois être fort, je ne dois pas craquer face à mon père. Mais je ne peux plus avoir la même attitude qu'à Poudlard. Là-bas tout me parait simple, possible. Tout semble également innocent. Il ne subit pas de traumatise. Le train finit par arriver en gare, de la première à la septième année, tous sorte avec joie et court retrouver les bras de leurs parents. Les miens ne sont pas pas là, ils ne font pas ce genre de déplacement qu'ils considèrent particulièrement inutile. A chaque marche que je descends du train pour atteindre le quai, mon cœur se serre un peu plus. Ma respiration accélèrent. Je me pose, je me calme. Le "chien" de mon père est là, il m'attend débout comme un piquet. Voilà, mon faible quotidien à Poudlard prend fin ici pour deux semaines. Je me rapproche de l'individu, il me salut :

- Monsieur Oz, Monsieur votre père m'a demandé de vous raccompagner chez vous.

Je n'ai même pas envie de lui répondre, de le saluer à mon tour. Mais mes obligation reprenne ici. Je n'ai pas le choix, je dois être digne de mon nom de famille et surtout de mon père. C'est donc avec aucune expression apparente que je réponds à mon baby-sitter :  

- Bonjour Taylor, bien allons-y

Voilà, je suis devant chez moi, Taylor toujours à suivre le moindre geste et pas que je fais. Oui, comme mon père le lui a demandé, il ne me lâchera qu'une fois que j'aurais passé la porte d'entrée de notre bâtisse. Une nouvelle fois mon cœur se serre, la peur remonte. Mais qu'importe, je dois me montrer fort. Je finis par prendre mon courage à deux mains et j'entre. Taylor m'accompagne jusqu’au salon. Mon père m'y attend assis dans son fauteuil fétiche, un plateau d'échec est placé sur une petite table. En face de mon père, une personne qui lui doit de l'argent. Mon père est comme cela, il pousse les gens à avouer leurs fautes et à les payer à l'aide d'un jeu dans lequel il excelle. Je ne connais pas l'inconnu, mais à en juger de loin, il n'est pas en très bonne posture et mon père va encore triomphé. Cela m'exaspère. Après quelques minutes de silence, durant lesquels mon père ne semble me porter aucune attention, je finis par m'annoncer et me présenter à notre invité :

- Père, [prenant la direction de l'invité et lui serrant la main], Monsieur, Luka Oz le fil du maitre de ces lieux

En ne m'accorant toujours aucun intret flagrant, mon père me fait un signe pour que je prenne place à la partie en cours. J'appréhende. Ce n'est jamais bon signe.  Sans un mot, je prends place dans un des sièges vide tandis que Marcus mon père congédie Taylor en le remerciant. Une fois de plus les secondes s'écoulant dans une atmosphère étouffante me paraisse des heures. Le silence est enfin rompu par le maitre des lieux :

- Luka, et si tu prenais la place de notre ami ?

La question de mon père n’en est pas une, c'est ne obligation. Mais qu'elles vont être les conséquences ? Mon père ne prendrais pas le risque de perdre face à cet étrange inconnu. Cependant, je me doute bien, que si j'échoue cela ne sera pas gratuit. J'attends avec méfiance la proposition douteuse de mon père, mais je n'avais le choix, j'allais dans tous les cas devoir l'accepter.

- Tu gagnes, tu restes ici la première semaine de tes vacances , et notre invité repart tranquillement  partager le repas avec sa femme et ses enfants.

J'attendais la deuxième partie de la phrase. Je savais qu'a ce moment précis l'inconnu était en train de respirer. Que je gagne ou que je perde, tout cela ne serait plus de sa faute. Il pourrait dégager la responsabilité de son échec sur un jeune adolescent et ainsi trouver un réconfort mental. Qu'en a moi, la proposition de mon père était alléchante à première vue. Même si rester ici ne serait pas de tout repos, cela sera déjà un moment plus agréable à passer que chez mon oncle. Je restais encore une fois sur mes gardes, mon père était fourbe et manipulateur. Mais je semblais être la seule vrai personne à voir sa vrai personnalité.  La suite arrivait :

- Si jamais tu perds, tu prendras la responsabilité complète des erreurs de notre invité et tu passeras une semaine supplémentaire cet été chez ton oncle pour travailler.

Je ne laisse rien paraitre, aucune expressions, aucune réaction. Je reste de marbre, le plus froid et distant possible. C'est comme ça que mon père m'appréciait, obéissant. L'invité semblait tout soulagé, sa respiration s'était calmé et avait retrouvé un rythme normal. Si les gens pouvait se rendre compte que la peur s'entend à des kilomètres à la ronde et que cela est désagréable à écouter. Je respire tranquillement et finit par regarder le jeu. Je tourna le plateau de tel sorte à ce que je puisse m'approprié la stratégie de l'ancien joueur. Il ne semblait pas avoir joué de manière plus cohérente que cela. Je le savais, il ne me restait plus qu'une dizaine de seconde pour m'approprié le jeu. Le temps de jeu de chacun avait été mise en pose lors de mon arrivé. Ainsi, mon père dispose de plus de 15 minutes pour finir la partie alors que j'en possède tout juste cinq. L'état de la partie pour moi était désastreuse. Il serait relativement simple de reprendre la mains face à une personne qui commet des erreurs. Mon père ne fait pas partie de cette catégorie de personne. De plus le manque de temps allait me pousser à faire des erreurs. Au final, j'étais piégé, j'allais devoir gagner face à l'un des meilleur joueur.

Je commence, je déplace la première pièce, et appuis sur le bouton du temps. Mon père enchaine . Les tours s'enchaînent les uns après les autres.  Il ne me reste plus que 10 secondes. Assez de temps pour effectuer au moins 4 déplacements. Je dois réfléchir durant le tour de mon père. La pression monte, j'ai de plus en plus de mal à la gérer.   Ce n'est pas la carotte qui me stresse, mais le principe simple de perdre contre lui. J'aimerais l'humilier devant notre invité afin de prouver qu'il n'est pas le meilleur.  Trop tard, je viens de faire un déplacement qui va me couter la partie. Je le sais d'avance. Je me suis précipité. Quel con, je fais.  Mon père annonce comme je m'en doutais :

- Echec et Mat

Je ne dis rien, encore une fois , mon père m'a bien formaté. Je ne dois montrer aucune expression, aucun regret, je dois une fois de plus assumer mes erreurs. J'ai l'impression d'entendre cette phrase à longueur de journée. Mon père ne rajouta rien suite à la partie. Il raccompagna son invité jusqu’à la porte et mon j'attends dans le salon. Je me rappel très bien des propos de mon père. Je l'attend patiemment, une boule dans le ventre grossissait chaque minute qui s'écoulait. Je sais très bien ce qui m'attend. Je ne pourrais rien dire et en même temps je l'ai mérité, je n'ai pas réussi à battre mon père et j'avais accepté le deal en jouant la partie. Il revient, il congédie l'ensemble du personnel, et ferme les portes. Ma respiration s'accélère, il ne doit pas le ressentir, sinon cela sera pire.  Je ne dis rien, j'attends qu'il prenne la parole.

- Qu'as-tu fait ces derniers mois Luka ? Tu me déçois énormément. La partie était pourtant simple.

Je le sais, la question n'attend pas de réponse, et mon père était en train de préparer son argument pour justifier ce qui risquait de se dérouler par la suite. Je ne sais pas quoi répondre, je ne sais même plus où me mettre la peur monte en moi, j'ai de plus en plus de mal à la gérer. Je ne suis même plus capable de supporter le regard de mon père. Grave erreur une nouvelle fois, je le sais pourtant. Ne jamais baisser les yeux face à une personne mon père comprit. Il me la enseigné je ne sais combien de fois. Je me prépare, je le sais, le premier coup va partir. Mon père me reprit comme prévu :

- Je t'ai déjà dit de ne jamais baisser les yeux face à quelqu'un. Tu dois rester fière et ce malgré les actes que tu commets. Combien de fois te l'ai-je dit ? Lève la tête maintenant.


J'exécute ce que mon père me dit. J'aimerais préparer à me protéger, mais cela ne ferais qu'aggraver les choses. Je lève la tête et regarde mon tuteur légale dans les yeux. Je m'apprête à me justifier, mais trop tard, je le sais. Je vis la main de mon père prendre la direction de ma joue gauche. Je ne réagit pas, je contracte l'ensemble de mes muscles pour encaisser le mieux que possible. Je sens l'impact, la joue me chauffe , en quelque secondes elle me brule. Je sens les réaction dans tout mon visage. Je ne peux pas résister assez, ma tête fait un quart de tour. Je n'ai pas le droit de riposter, de répondre, de baisser les yeux et encore moins de montrer la douleur. Encore une fois, je dis rien, je ne régis pas, je n'exprime rien, je n'en ai pas le droit.  Mon père reprend la parole :

- Pourquoi m'oblige tu à faire ça ? Tu crois que ça me plait de passer ma journée à te recadrer ? Et puis tu n'as pas répondu à ma question. Qu'as-tu fait ces derniers mois ? Le professeur Rogue est resté relativement vague. Mais, je fus particulièrement étonné quand j'ai reçu cette lettre. Et nous n'en avons pas assez parlé à mon gout. S'il ne s'était rien passé, Severus n'aurait pas perdu son temps à m'envoyer un hiboux. Alors Luka, je le répète une dernière fois , qu'as-tu fait ces derniers mois ? Et n'essaie même pas de me mentir, ça ne ferait qu'empirer la merde dans laquelle tu viens de te mettre.

Il fallait que je m'en doute que mon père reviendrait sur cette lettre. Il avait trop bien réagit. J'étais au pied du mur. Si jamais mon père s'entait que je lui ment, il enverra un hiboux à Rogue pour avoir les détails. Et, comme il le dit si bien, cela aggraverait un peu plus mon cas. Mais si je lui dis la vérité, je ne suis même pas sûr que je me puisse me relever avant la fin des vacances. Je me sentais pris au piège, j'aurais aimé avoir tout avoué au professeur Chourave. Elle aurait pu trouver une excuse pour que je reste durant la période de vacance. J'ai envie de le supplier maintenant de ne pas y aller trop fort. Mais je le sais mon père ne démordra pas avant de connaitre l'intégralité de la vérité. Je vais devoir tout lui avouer. Infractions par infraction. Lui raconter tout dans les moindres détails. Ce que je fis. Je n'omis strictement aucun détail, les punitions, l'insolence, la convocation de Chourave, l'insolence que j'avais eu envers le professeur Rogue. Tout. Je vois le visage de mon père se transformer. Je vois son visage prendre toutes les couleurs. Malgré cela, il garde étrangement son calme. Cela est mauvais signe pour moi. Une fois mon récit finit , un silence pesante s'installe.  Je ne supporte plus cette pression. Mon père finit par avoir une réaction, une parole :

- Ta chemise

Mon cœur se serra, je sais très bien ce que signifie ce genre de phrase. J'ai envie de pleurer, d'éclater en sanglot comme un enfant, de le supplier de ne pas faire ça. De lui promettre que j'arrête les conneries. Mais je le sais,  tout cela ne servirait à rien. Bien au contraire, cela ferait trop plaisir à mon père. Je m'exécute donc. J'enlève mon mentaux et le pose sur l'un des trois fauteuils du salon invité. Je regarde une dernière fois mon père , en espérant qu'il revienne sur sa décision. Mais, rien à faire.  Je me tourne donc, je commence à tirer sur mon nœud de cravate. J'ai les mains moites. Mon père commence à s'impatienter. J'arrive enfin à la retirer. Je la plis et la dépose sur mon manteau.  Je commence par déboutonner le premier bouton de mon col. Au fur et à mesure je retire les boutons de ma chemise. Le dernier est défait. Je l'enlève.  Je laisse mon dos marqué à l'air libre. En me regardant rapidement, je constate que j'ai pris de nouveaux abdos.  Cela fait une éternité que je ne me suis pas regarder dans une glace. Je ne supporte plus de voir mon corps mutilé. Je suis prêt, je prends la direction de mon père. Je me positionne face à lui. Et accepte de la tête encore une chose qu'il me force à faire, en signe de gratitude vis-à-vis de lui. Je le méritais, mon père voulait que j'en sois convaincu. Je dois accepter la sentence et l'en remercier à la fin d'être clément. Nous n'avons pas le même sens de la clémence. Je  finis par lui tourner le dos afin de lui donner un libre accès total. Je vais avoir mal. Je le sais. Je contracte le plus que possible mes abdos en préparation de la sentence. Mon père est un excellent sorcier, et sait très bien manier les sorts et leurs intensités. Il sort sa baguette, je le sais, je le sens, il prononce avec une voix si calme :

- Sectumsempra

Je sens la première entaille se faire dans mon dos. Elle déchire lentement ma peau, elle n'est pas très profonde, mais me tiraille déjà. Je serre les dents, ne dit rien, j'attends. Voilà que la deuxième arrive, j'ai l'impression que l'on me coupe la peau à vif, en quelque sorte c'est le cas. Je serre un peu peut plus fort les dents. Je retiens ma respiration et les gémissement que j'ai envie de pousser. Il s'arrête.  Le sang commence à couler le long de ma colonne vertébrale. Non, ce n'est pas fini je le sais. Mon père me pose alors la question habituelle :

- Combien en mérites -tu ?

Encore une de ses questions pièges. Je ne peux pas donner un petit chiffres. Il le multiplierait par dix. Et je n'en donnerais pas un grand je ne le supporterais pas. Je devais lui répondre, sinon il choisirait lui, et cela ferait encore plus mal. Cette question était particulièrement humiliante à mon gout. Mais je dois le donner une réponse, et une bonne réponse. Essayant de desserrer mes dents, je dis difficilement :

- 10

Mes dernières blessures me faisait encore mal, et je ne pense pas en supporter plus que dix. Mais je le sais, en vue de tout ce que je viens de lui raconter cela ne lui conviendra pas. Mon père reprit la parole :

- Je te trouve bien indulgent avec toi-même Luka. Comme tu dois t'en douter je vais augmenter par rapport à ton chiffre. Mais uniquement de cinq. J'ai décidé d'essayer une nouvelle méthode.

J'ai horriblement peur. Mon père ne m'a jamais infligé que quinze entailles. J'ai un très mauvais pressentiment.  Je ne dis rien comme toujours. Je sais aussi que les deux premières ne compte pas. Mon père reprit alors là où il s'en était arrêté. La première des quinze entailles commence à déchirer ma peau. Une sensation bizarre  m'envahi. Ce n'est pas comme d'habitude. C'est étrangement plus douloureux. Il fait tout simplement des entailles plus grandes et plus profonde. J'ai horriblement mal, j'ai envie de crier, hurler. Mais aucun son de sort de ma bouche. Mon père mit plus de vingt seconde pour m'entailler le dos une première fois. Je sens mon sang couler, c'est abondant. Je ne tiendrais jamais la punition entière. Mes larmes commencent à couler toutes seules. Quinze entailles, mon père les fit toute sans s'arrêter. Sans faire attention à mes larmes, à mes supplications. La punition était enfin puni. Je m'écroule une dernière fois par terre. J'ai le dos en sang. Mon père me soigne juste pour que mon pronostic vital  ne soit pas engager. Il fait en sorte que la douleur reste, et que le sang séché me reste désagréable.  Je suis épuisé , j'ai mal. Mais je ne dis rien. Mon père m'envoie dans une des plus petite pièce de la bâtisse. Elle ne contient qu'une chaise, une table et un vieux lit. Il me demanda de ne rien salir. Je n'ai donc pas le droit de habiller. Je serais obligé d'attendre d'être seul.

Voilà je suis dans ma nouvelle prison. La pièce fait neuf mètres carrées. j'ai une table, une chaise, un petit lit. Dans cette pièce je n'ai aucune lumière du jour. La porte est fermé. Je le sais d'avance. Je n'essaie même pas de l'ouvrir. Sur la petite table une pile de livre, un certain nombre de parchemin, une plume et de l'encre. J'ai le droit d'étudier pour les deux prochains jours en attendant que je rejoigne mon oncle dans son centre.  A ce moment-là, j'aimerais être à Poudlard, la vie est tellement belle là-bas.  Deux jours, c'est le nombre de jours où je suis resté enfermé dans cette pièce.

Une semaine, je m'apprête à passer une semaine dans un lieux qui en apparence fait penser à une école. L'argument de vente de mon oncle pour son école est son taux de réussite. Il ne parle pas du tout des méthodes qu'il met en place pour faire en sorte que les élèves deviennent brillant.  Ce centre est destiné également à des jeunes délinquants. Les méthodes en apparence fonctionne mais à quel prix pour ses pensionnaires. La particularité de centre est de mélanger moldu et sorcier. Empêchant ainsi les jeunes sorciers de se distraire à l'aide de la sorcellerie. Voilà, mon calvaire débute ici.  Je le sais mon père a dû laisser un certain nombre de consigne. Je suis livré à moi-même.

Durand tout ce séjour, je subis violence, humiliation, emprisonnement. J'en revenais presque à regretter ma vie avec mon père. Il était moins violent et plus juste. Là, je subis à longue de journée des coups dans tous les sens dès la moindre erreur, dès le minuscule écart de conduite au règlement particulièrement simple. Je suis en train de devenir un robot, je perds la notion du temps, du lieux. J'en oublie Poudlard, chez moi. Les cours portes de manière dissimulé sur le programme de poudlard et plus particulièrement sur les APIC.  Ma sanction ne dura qu'une semaine, mais cela me parut des mois. Je suis épuisé. Je vais enfin pouvoir revenir au château. Je suis dans un état de fatigue avancé, je ne suis pas sûr de tenir. J'ai plus envie d'enfreindre le règlement, mais j'ai un besoin de me défouler, d'externaliser toute ma haine pour cette vie, pour ce quotidien. Je crains que mon comportement soit encore plus déplorable pour ce dernier trimestre.

Mon pire  cauchemar ? Ce dont j'ai le plus peur ? Mon quotidien, ce que je vie. Aucun cauchemar ne me fait plus peur que la période de vacances  qui m'oblige à vivre avec mon père.


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