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MessageMon ami Moldu Mon ami Moldu Empty- Mar 13 Fév - 21:02
23h26
Londres, Banlieue de Crouch' End.


Ha sacrés Moldus...

En terme d'amusement, ils étaient presque aussi bons que des fourmis pour  distraire un enfant. Encore en culotte courte, Septimus s'était égayé à verser du plomb chaud dans le conduit d'une fourmilière. Une fois le refroidissement terminé, le métal qui s'était insinué dans tous les tunnels de la colonie avait adopté des formes complexes, hypnotiques. Bel objet de collection, assurément ! Presque unique à chaque fois, en tout cas.
Pour ce soir, pour cette nuit, il avait délaissé son rôle de collectionneur pour endosser celui de trickster, du fripon, de l'esprit frappeur ou de la divinité du chaos des contes. Un Loki des temps modernes... mais en plus modeste, bien sûr !

Ha ces Moldus...

Celui sur lequel il avait jeté son dévolu était vraiment comique !
Sans trop savoir ce qu'il allait faire de lui, mais certains de vouloir en faire quelque chose, Septimus l'avait filé discrètement toute la soirée. Un  petit sortilège de Confusion l'avait assuré que son Moldu ne se rende pas compte de la filature. Mais même sans cela, il doutait de s'être fait repérer. La loque humaine avait passé sa soirée à écumer les bars. De petits pubs en petit pubs, il avait poussé sa carcasse d'alcoolique de plus en plus vers le naufrage.
Les premiers pleurs de l'alcoolique en détresse avaient surgi au troisième pub. Les vomissements de l'ivrogne en fin de course au quatrième. Ensuite, les vagissements... comme un veau égaré, il avait braillé après une certaine Hélène et un certain Tom.

Arch, mais mon brave ami ! Ton Hélène doit attendre ton retour dans votre minable petit appartement, se demandant si par chance tu ne seras pas ce soir heurté par une voiture. Le petit Tom, lui aussi doit pleurer dans son lit en ne comprenant pas pourquoi son papa rentre de plus en plus tard, et pour lui et sa maman se dispute de plus en plus.
Il suffit de vous observer une seule soirée pour comprendre toute la portée de votre médiocrité, vous, Moldus.


Non vraiment, le plus dur avait été de ne pas rire tout au long de la petite farce.
Quand l'homme avait été ivre au delà de toute rédemption possible, Septimus avait sorti sa baguette. De loin, à bien huit mètres en arrière, il avait lancé le premier  maléfice informulé du Bloc-Jambe à l'angle de  Harrison' Corner. Le Moldu avait vacillé, ses chevilles jointes, puis s'était explosé au sol dans un soupir de douleur.

Le mauvais alcool ravit tout équilibre au mauvais buveur, c'est connu, Arch !

Bon... il avait pouffé quand un couple de beaux jeunes gens avait ricaner en passant à droite de l'ivrogne à terre. Ce manque flagrant d'empathie et de miséricorde...

Le Moldu est un loup pour le Moldu, oui.

Le second maléfice l'avait frappé dans le dos alors qu'il allait descendre du trottoir sur Bleecher'End. Septimus avait retenu son souffle ! Pour un peu, le Moldu avait faillit s'éclater le front sur l'angle dure du trottoir. S'aurait été l'apothéose !
Pour peu, s'il survivait à ce soir, toute cette petite blague aurait clairement une portée didactique ! L'homme y repenserait à deux fois avant de se biturer sans vergogne.

Ach !

Mais il s'était révélé. Show must go on, et bien allons y !
Le troisième maléfice lui avait touché dans le fondement alors que le pauvre homme était rentré dans une cabine téléphonique rouge, à l'angle de Miller's et de Stottenham's. Sa femme, un ami... pourquoi pas un frère ? Le Moldu avait sans doute voulu joindre un proche pour lui demander de venir le chercher. Perdant l'équilibre avant d'avoir pu rassembler assez de concentration pour finir de composer le numéro, il s'était cassé le nez en tombant contre le combinné téléphonique en plastique noir. Poc !
Avec l'éclairage des lampadaires, d'où  il était, Septimus pouvait voir des petits points écarlate sur la vite de la cabine. Découragé, à bout de force, le Moldu avait fondu en larme, par terre.

La voiture de police qui s'était garé à sa hauteur avait signé la fin de la petite farce de Septimus. Se donnant jusqu'au bout pour la qualité de la représentation, il avait même fait semblant de venir, inquiet, pour prêter assistance au pauvre homme alcoolisée, mais une policière lui avait sourit, précisant avec gentillesse qu'ils allaient prendre les choses en main.

Devant tant de stupidité, ne serait-ce pas criminel de ne pas en profiter ?
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MessageRe: Mon ami Moldu Mon ami Moldu Empty- Mer 14 Fév - 23:07
Pur, Inchangé, Survivant
Londres, Banlieue de Blyswick.

Spoiler:

- Hé !

Les tableaux étaient au nombre de seize, quatre pour chaque mur de la pièce carrée. L'antique papier peint avait du être d'un beau bleu barbeau il y a de cela des décennies, mais maintenant il était juste d'un bleu bleuet passé avec des imprimés en forme de plume de paon qui dessinaient tout un motif labyrinthique. Le parquet en chêne du Gabon franc presque noir était juste recouvert d'un très épais tapis émeraude au centre de la pièce. Des bustes en pierre, aux quatres angles. Surveillaient les gens présents dans la pièce.
Des rideaux à cordes étaient pendus devant les fenêtres: les résidents des tableaux n'avaient jamais beaucoup apprécié l'intrusion du soleil ici. Avec le temps ça en avait fait un endroit peu chaleureux, poussiéreux. Mystérieux, aussi.
Précisément toutes les trente-six minutes le fantôme de Marius Nott passer au travers du mur sud pour flotter tout le long de la pièce juste avant de disparaitre par le mur nord. Le petit Septimus ne savait pas exactement quelle place occupait Marius dans l'arbre généalogique, ni pourquoi il lui demandait à chaque fois si '' la fille du bourreau lui tenait encore grief''.

Mais il n'en avait pas peur. Il aurait été inconcevable pour lui de craindre quelque chose en sa propre demeure. Surtout l'ombre du passé d'un membre de sa famille.
C'est dans cette pièce qu'il était tombé intimement amoureux des choses anciennes, passés, à la tradition. Là qu'il avait ressenti du haut de ses neuf années l'absolu nécessité de faire perdurer l'ordre naturel des choses. De préserver ce qui avait été.

De rester Pur, Inchangé, Survivant.

Même quand il fallait rapidement remettre le drap sur le portrait de Gnaeus Nott parce que celui ci se mettait à hurler '' Malemort, Malemort à toi, Chesterford, race de pendu !'', il se sentait à l'aise dans ce refuge.

Jamais il ne s'était senti lésé de recevoir plus d'attention de la part de ces tableaux que de son père. Il n'en souffrit pas à un seul moment. C'était bien, ainsi. Quand il y restait plusieurs jours d'affilé sa mère lui portait toujours de quoi se sustenter. Elle même, pas en envoyant un des nombreux elfes de maison du manoir. Quelques fois elle lui passait une main dans les cheveux avant de ressortir. L'odeur de menthe et de verveine de son eau de toilette passait de ses doigts à sa tête. Ça avait eu quelque chose de rassurant.

C'est avec le tableau d'Alcide Nott qu'il passait le plus de temps et échangeait le plus de mots.
Spoiler:
Cet Alcide avait été bourreau pour le Ministère de la Magie de 1773 à 1798. Il avait servit avec fiabilité sous Maximilian Crowdy, Porteus Knatchbull et Flagorneur Osbert avant de poser sa démission lorsque Artemisia Lujkin avait été élue Ministre. La première femme à l'être, de 1798 à 1811.

-Miséreuse castin, ceste elle qui milita avec une honteuse ardeur pour promouvoir ceste malsenée discipline de houliers qu'este le Quidditch . Ha l'icelle gouge ! Coquebertte !

Malgré le langage, le petit Septimus comprenait la plupart du temps son aïeul. Il s'exprimait visiblement dans un sorte de forme soutenue archaïque même pour son époque natale. Les rares fois ou il ne le comprenait pas, il ne laissait rien paraitre et hochait la tête.

- Hé, m'sieur !

Alcide s'occupait surtout d'abattre des créatures magiques dangereuses, voir des créatures domestiques sur lesquelles leurs maitres avaient perdu tout contrôle. C'est une infinité d'histoires et d'anecdotes qu'il connaissait, cet ancêtre là.

- M'estant vu mandé au premier mois de froidure pour occire quelque Chartier qui avait fait grand peur à la menuaille d'une menanterie à Caherdyn, sis dans les Wales. Qu'ils tous avaient la cuer de lièvre, pour faire la merdaille dans sa défroque face à un Chartier, Septimus, fillot mien. La beste braille, braille jactance comme fol or sans faire grande male. Icelui avait estriller le nez d'une fame de peu. Puis francrepue, il avait sans respit gagner sons trou pour s'y fatrouiller avec sa marmaille.
J'eusse si grand peine au coeur qu'occire pareille beste me fit vergogner. Pourquoi mortir la créasture pour quelques nez de folle-en-cul ? En lieu du chef du Chartier c'este la vilaine tête d'un furet du quelconque que je ramenais en corps du délit. Nul ne fleura la différence moindre,  et prestement la chose en fut oublié.
C'estait de bon alloi de recourir à la baguette, et souvent les pécores faisaient gorges chaudes de me mirer abattre ouvrage avec mienne hache. Une grande et vilaine hache, sur une longue cognée. J'étais membru, Septimus, et pour tirer les mânes d'une beste, jamais à deux fois je m'y repris.


L'enfant buvait les paroles du défunt à chaque visite. Contrairement aux autres, l'Alcide du portrait ne dormait que rarement, il était plein de vitalité. Aussi, Septimus lui parlait parfois plusieurs fois par semaine.
Dans les premiers temps de leur relation, Alcide l'avait charger de fouiller dans tout le maoir à la recherche de sa hache d'office. Il aurait grand plaisir à la voir reposer sur un ratelier mural juste sous son portrait. Septimus avait eu beau chercher des jours de suite, il ne l'avait jamais pu mettre la main dessus. Grenier, cave, remise... nulle part. La hache devait avoir été perdu un ou deux siècles plus tôt.

- Hého ! L'est bouché ou quoi...


Quelques semaines avant son départ pour Poudlard, il était venu presenter ses respects au portrait. Ce dernier l'avait chaudement féliciter pour son admission.

- J'accrois bien que tu va bellement lier connaissance avec de jeune gents de belles lignées. Ne va  point, Septimus, t'embrener avec je ne connois quel bâtardon de familles moindres. Un bel hontage, que cela nous ferait.
Je ne puis que vivement te conseiller de t'acconcilier avec une joliette jovente de sang-pur. Odir moi bel et bien, Septimus, jamais garçonet n'est trop jeune pour conscrire à un contrat de mariage. En la maisonnée du noble Serpentard ton regard se posera sur de pure pucelles, ou que tu portes tes mires.


- Mieux vaut-il la trouver belle , douce ou intelligente, mon aïeul ? lui avait demandé l'enfant avec innocence.

- L'intelligence d'une femme este sa loyauté et soumission sienne à son époux. C'este de savoir commun que le sang-pur confère joli minois, mon fillot. Porte moult importance aux hanches, Septimus. De belles et bonnes hanches sont gages de rejetons nombreux et en santé.


- Les hanches... ?

- Moment venu, tu aura  la pleine comprenette. C'este hautes et fieres que nos valeurs se doivent d'êstre porté. Oncques ne dira qu'un Nott aura fait opprobre aux lois du sang. Récite nos mots nôtres, Septimus.


-Pur, Inchangé, Survivant,
Sang souverain nous habitant.


- Bien, bel et bien en vérité. Avoulte-moi de quelle manière tu escomptes laisser marque et souvenir de ton passage à Poudlard, Septimus ? Quelques duels avec des Mal-Sang ? Te préparer pour la devenance de Premier Préfet ? La découverte de la Chambre des Secrets pour la grande purification ?

Septimus n'en avait eu en vérité aucune idée. Il n'avait pas eu la pleine conscience que se distinguait à l'école lui incombait à ce point. Pour gagner du temps, il avait demandé au hasard des précisions.

- La Chambre des Secrets, mon aïeul ? Qu'est-ce que c'est au juste ?

- Allons, sans niaiser ou feindre, me fera-tu gober que tu l'ignore ?


- Je... oui, je l'ignore, avait avoué Septimus en regrettant dès lors son petit stratagème.

- C'este haut lieu mythique de l'école ou tu va devoir aller. Un sanctuaire qu'oncque ne saurait situer. Embusquer quelques part dans Poudlard. Un antique héritage du noble Serpentard, qui contient un grand secret.[/color]

- Quel genre de secret ? Lui demanda Septimus qui ne comprenait pas bien ou son parent défunt voulait en venir.

- Nul ne le sait en précisions. Les rumeurs babillent d'une chose, sortilège, créature ou objet, qui serait en mesure  capable par sa seule nature  de faire derechef escampetter ces chiabresure de Mal-Sang de Poudlard. Vieux songes que celui-ci, ou un bourgeon des Nott ouvrirait la Chambre. Insigne honneur !

-Merde, vous allez avancer ou pas ?

Septimus sentit la bourrade l'atteindre en haut du dos. Quelqu'un venait de le pousser vivement de la paume de la main. Il fit deux pas en avant et heurta le tapis roulant de la caisse, manquant de lâcher son petit panier de course. C'était la seule épicerie de quartier de Blyswick encore ouverte, la seule ou il venait d'ailleurs. Que des personnes âgées ici, que des voisins... que faisait ce jeune homme ici ?
Avec son pantalon en bas des hanches et son bonnet tout dressé !
Perdu dans ses pensées, dans ses souvenirs ( sa vraie richesse...) il avait fait attendre ce Moldu trop longtemps. Sa main se crispa sur sa baguette, dans sa poche. Un véritable frisson lui parcouru tout le corps alors qu'il se revoyait en train de lutter contre les frères Prewett en compagnie de Dolohov et Rosier.
Comment il avait érigé un véritable barrage d'Incendio en lançant les sorts à la suite pour bloquer les jumeaux Prewett. Loupant de peu Fabian avec  le chien de Feudeymon mal maitrisé qui lui avait lancé de flanc.
Un instant... il se dit que ça vaudrait le coup de tout perdre pour le refaire sur ce Moldu. Celui-ci, précisément. Qui avait levé la main sur lui.

Finalement, sans rien dire, il se hâta de déposer ses achats sur la caisse, son coeur qui battait la chamade se révoltant contre cette décision de ne rien faire.
De ne rien faire.
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MessageRe: Mon ami Moldu Mon ami Moldu Empty- Sam 17 Fév - 11:14
Pur, Inchangé, Survivant
L'adolescente était venue s'asseoir d'elle même sur le même banc que lui.
Spoiler:
La puberté n'avait pas été tendre. L'acné était venu ravager un visage passablement joli pour une Moldu. Ses dents étaient envahies par des broches de métal, comme un cheval avec un mors. Tout à l'autre bout du banc en métal vert, il pouvait sentir les relents de cigarettes qui devaient venir du manteau en nylon de la petite dinde.
Sans la regarder, Septimus avait entendu des reniflements. Des petits reniflements secs du nez. Comme pour quelqu'un qui vient ou qui s'apprête à pleurer.

Ils pleurent des larmes, comme nous. Ils saignent du sang, presque comme nous. Comme dans le Marchand de Venise. Là est le piège.
'' Si vous nous piquez, ne saignons-nous pas ? Si vous nous chatouillez, ne rions-nous pas ? Si vous nous empoisonnez, ne mourrons-nous pas ? Et si vous nous bafouez, ne nous vengerons-nous pas ?''


Il se morigénait quand il pensait ainsi à la littérature Moldu. Pourtant ils ne pouvaient pas leur renier cela... leurs auteurs avaient produit des chef-d'oeuvres certains. Surtout dans le domaine du théâtre.

Septimus vit la jeune Moldu sortir une sorte de petit carnet à la couverture rose, mièvre au possible. Au fur et à mesure qu'elle y notait, les reniflements se faisaient de plus en plus incontrôlables. Bientôt ils céderaient la place aux larmes. C'était certains.

-Tout va bien, mon enfant ? Lui demanda t-il de la voix la plus mielleuse dont il était capable, une voix fait du miel de milles acacias récolté par dix milles abeilles.
- Ho... je... en.. je, oui, lui balbutia la potiche, se conchiant dessus pour aligner péniblement trois mots
- Loin de moi l'idée de t'espionner, mais j'ai crû entendre des reniflements de... et bien, de tristesse. Elza, ma petite fille, renifle de la même manière quand quelque chose la rends triste.

Adopter un air concerné et inquiet au lieu de rire lui demanda un effort considérable. Elza... ou était-il aller chercher ce nom là !
Il se rapprocha un peu d'elle pour reprendre de plus belle. Pas trop, toutefois, conscient de la suspiçion des adultes Moldus de ce siècle concernant tout étranger un peu trop prompt à trainer avec des jeunes enfants.

- Rassure-moi, ma jeune amie, se ne sont pas tes parents, tout de même ? Ils vont bien ? Ils ne sont pas malades ?

Deux fois sur trois, ce sont les parents.

L'adolescente le regarda, surprise, et mis quelques secondes avant de hocher timidement la tête, le nez baissé sur son journal intime.

Ach.

-Les miens se sont séparés alors que j'étais fort jeune, figures-toi. Je ne te souhaite jamais cela, c'est quelque chose de terrible. Perdre l'amour de son père quand il refonde une famille. Entendre sa mère pleurer tout les soirs dans sa chambre, inquiète pour l'avenir. Les disputes, les coups, les insultes. Un véritable calvaire que je ne souhaite à personne. Le pire étant que dans la plupart des cas, l'enfant, pauvre victime, est placé dans une famille d'acceuil.

Livide maintenant, sa jeune interlocutrice ne disait plus rien, happer par ses paroles, par ses croassements de corbeau de tempête. Le baratin avait produit l'effet escompté.

- Tu va me trouver un peu fou, et en déduire que j'étais un bien terrible garnement, mais la seule solution que j'avais trouvé pour cimenter leur amour autour de moi avait été de fuguer, loin et sans prévenir personne. Et, ma foi, cela avait marché. Morts d'inquiétudes à force de me chercher, ils en avaient oublié leurs querelles. Je suppose que si j'avais fait encore pire... cela les aurait rabiboché aussi bien efficacement...

Il prit l'air songeur de celui qui se replonge dans des souvenirs.

- Et maintenant si tu me pardonnes, je dois te laisser. Bon courage pour tes ennuis, ma charmante amie. J'espère que tu trouvera un moyen de faire en sorte que tes parents restent ensembles...ach.

Il était partit sans lui laisser le temps de répondre, la laissant écrasé sous le poids imaginaires des responsabilités qu'il venait de lui attribuer. La graine de ce qu'ila avait germer pousserait avec un peu de chance.
Avec vraiment un peu de chance, il lirait dans quelques jours dans le journal l'avis de recherche de la jeune idiote... si ce n'est pire.

Une bonne chose de faite.
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