Sang : Âge : 16 ans Statut : Élève Gringotts : Compte Année : 6ème Option #1 : Soins aux Créatures Magiques Option #2 : Étude des Runes Anciennes Baguette : Houx - Épine du monstre du Fleuve Blanc - Plutôt flexible - 34cm Animal/ux de compagnie : Ríoghnach (Hibou Grand-Duc femelle, surnommée Reine) Poste(s) : Rien d'autre qu'élève
RPG en cours : Venez venez ! Inventaire : * Fournitures de 1ère à 6ème année
* Méta-masque
Avatar : Birdy Points : 0
Eriu Selwyn | Eriu Selwyn - Lun 16 Juil - 19:40 | | |
Eriu Selwyn
feat. Jasmine Von Den Bogaerde (Birdy)Prénom : Eriu Nom de famille : Selwyn Jour et mois de naissance : 13 juillet Lieu de naissance : Leek (Staffordshire) Nationalité : Anglaise
Sang : Mêlé Père : Sorcier de sang pur Mère : Sorcière de sang mêlé
Lien de parenté avec un membre du forum ? Demi-soeur de Luka Oz (actuellement non su)
Âge : 16 ans Année scolaire : Sixième année Baguette magique : Houx – Epine de monstre du Fleuve Blanc – Plutôt flexible – 34 cm Animal de compagnie : Hibou Grand-Duc femelle, du nom de Ríoghnach, surnommée Reine
Questions du ChoixpeauÉlément naturel préféré : Air Sort ou maléfice préféré : Finite Incantatem Matière préférée : Soin aux créatures magiques
Qualité principale : Studieuse et perfectionniste Défaut principal : Impulsive
Quel est votre plus grand rêve ? Être une artiste reconnue Quel métier vous attire après Poudlard ? Tireuse d'élite de baguette magique
CaractèreAttendez, je dois être objective là ? Ok ok... Et bien, pendant longtemps, j'ai pensé que je n'étais qu'une bonne à rien, mais ce temps est révolu. Au contraire, je me répette maintenant que je suis capable de tout, du moment que je m'en donne les moyens. Pour ma mère, cela passe par le milieu scolaire et j'ai assimilé cette idée. C'est pourquoi je cherche à fournir un travail irréprochable pour tout devoir, noté ou non. Oh, je dois bien avouer que j'aime étudier. Le savoir, c'est une suppériorité, un forme de pouvoir, en particulier quand il est pratique, mais pas seulement. Mais à côté, j'aime aussi les choses plus... futiles. Le dessin, c'était pour la reconnaissance de mes professeurs. Le tire à l'arc, pour me recentrer avec moi-même, mon propre regard sur ma personne, même si je ne peux pas y recourir à Poudlard. Ce besoin d'estime est assez dévorant et je ne cherche pas à y résister. Même si je dois ignorer les interdits pour cela. C'est également l'utilité des amis : me faire sentir forte et m'aider à le devenir. Ce que je leur rend, bien sûr, j'ai horreur d'être en dette. Oh, j'ai l'air fragile, je sais. Et je le suis certainement, j'ai bien du mal à contrôler mes émotions. Ce qui fait de moi mon principal ennemi. Je passe mon temps à éviter de me ridiculiser. Retenir les larmes ou toute sensibilité. Même si tout ressortait quand je me croyais seule, avec une plume et un bout de papier pour écrire à ma mère. Aujourd'hui, c'est plus compliqué. Depuis qu'elle s'est mariée... Tout est différent. Je n'ai rien contre les moldus, tant qu'ils restent de leur côté. Ils n'ont rien à faire avec nous. Mais les quelques gouttes de sang qu'ils ont transmis par ma mère ont suffit à faire de moi une impur...
PhysiqueYeux : Bleu-gris Cheveux : Châtains Taille : 1m 73
Signe(s) distinctif(s) : Un tatouage de sablier sur l'épaule, fait alors qu'elle n'était qu'une enfant
HistoireJe suis née à Leek, en Angleterre, il y a désormais seize ans. Je suis fille unique.
Mon père est Midas Selvyn, un Sang Pur. Je ne garde aucun souvenir de lui. Il a disparu alors que j'avais trois ans, même s'il n'était pas souvent présent avant non plus... Tout ce qu'il me reste, c'est une photographie mouvante posée sur une table de chevet, le verre fissuré dans le coin suite certainement à la colère de ma mère. Et un tatouage en forme de sablier qu'il m'avait fait faire, placé sur l'épaule. Je dois me contorsionner pour l'admirer. Le sens m'en échappe toujours.
Ma mère s'appelle Fíona Gardner, une Sang-Mêlé irlandaise. J'ai grandie seule avec elle. Ancienne Serdaigle à Poudlard, c'est une femme studieuse sans être scrict. Elle me poussait constamment à bien travailler pour pouvoir choisir mon avenir et réaliser mes ambitions, même quand je ne savais pas ce que je voulais. Rédactrice dans un journal local, elle était passionnée par son métier mais veillais à ne pas le laisser empièter sur le temps privé, qu'elle me consacrait entièrement après le départ de mon père.
Lorsque mon âge me le permit, j'entrai à l'école moldue. Je ne me permettais pas de résultat moyen, j'exigeais de moi-même des notes maximales comme elle me l'avais enseigné. Toujours prête à m'aider à m'améliorer, elle ne critiquait pourtant jamais mes échecs. Malheureusement, certains élèves étaient jaloux, de mes bultins comme de la bienveillance des proffesseurs à mon égart, et je devins le centre de leurs plaisanteries. Je mis moins de cœur à l'apprentissage tout en laissant des complexes grandir en moi. Nombreuses de mes qualités étaient invisibles à mes yeux et j'ai commencé à sombrer dans la solitude. Ma mère, qui hésitait à accepter un poste dans un petit village, se décida en comprenant ce que je vivais. Âgée de sept ans, je déménageais donc vers Oaken.
Sous le poids de mes défauts imaginaires, je n'ai pas cherché à m'intégrer, ce qui me rendait d'autant plus vulnérable. Même en arrivant en cours d'année, je parvenais à me raccrocher et le même schéma s'installa. Je me suis efforcée de le cacher à la maison pour ne pas qu'elle regrète son choix. Néanmoins, en l'absence d'adulte, il m'arrivait d'utiliser la magie plus ou moins volontairement mais de manière absolument non contrôlée pour faire taire les mauvaises langues. Casser une ampoule, faire disparaître leurs affaires sur le toit, ce genre de broutilles qu'on expliquait pas et dont moi seule en savait l'origine. Ni vu ni connu. Mais c'était l'une des rares choses à me retenir de sècher le cauchemard que l'école devenait. Et les phénomènes se multipliaient. Je me libérais. J'étais si sage que les professeurs ne me soupçonnaient pas. Ce qu'il m'allait très bien. Si ma mère l'apprennait, d'une manière ou d'un autre...
Pourtant, l'école m'a offert deux passions : le dessin et le tir à l'arc. La première découlait de mon admiration envers les encadrants de la garderie. Je n'avais jamais vu d'arbres ou de rivières aussi réalistes. C'était si beau... A partir de là, mon esprit compétiteur à voulu surenchérir, mais je n'avais pas le niveau. Pas encore, plutôt, me répétais-je. J'étais capable de faire de magnifiques bonhommes en bâtons, mais ça ne me suffisait pas. Je leur ai demandé des conseils, puis des cours, sans véritablement préciser mes motivations.
La seconde, c'était en cours de sport que je l'avais découverte. C'était un coup de foudre. Dès la première flèche que j'ai décochée, je savais au fond que je ne pourrais pas m'arrêter. Je me suis immédiatement inscrite en club. Les séances était un refuge, comme une heure de méditation active.
Mais à onze ans, il fallait que Poudlard s'en mêle... J'étais partagée. Je devais abandonner ce que j'avais connu jusqu'alors. Dessin, tir, quelques ''amis''. Et ma mère. Que je laissais seule. Peut-être qu'elle pensera désormais plus à elle, qu'elle reconstruira une vie. Je l'espère. Et d'un autre côté, j'allais encore pouvoir recommencer la mienne une nouvelle fois. J'étais déterminée à ce qu'elle soit la plus belle possible. Hors de question que je continue à me terrer, au contraire.
La magie, c'était un rêve pour tout ces moldus. Moi ? C'était le signe d'un espoir. Celui qui me pousserai à me délivrer des chaînes du passé pour m'élever et renaître. Finalement, être une sorcière, c'était ça à mes yeux. Un moyen de briller, de me défendre contre ceux qui voudraient m'en empêcher. D'être moi-même.
Un sablier. Dans mon tatouage, le temps était arrêté, plus rien ne coulait. Il ne restait rien en haut, les grains se rassemblaient en un seul tas. Figé depuis si longtemps... Si je le renversais, le sable recommencerait sa chute. Avec quelques miettes de bonheur, sans doute. Il ne me restait plus qu'à les saisir, les brandir, les illuminer. Je doute que ce soit la signification qu'y mettait mon père, même si je ne la trouvais pas. Mais pour moi, il se revêtait de couleurs flamboyantes et oniriques.
Ma mère m'accompagna pour l'achat de mes fournitures, où nous nous sommes rendus par la poudre de cheminette. Ce qui s'y passait ne m'était pas étranger, n'ayant jamais ignoré mes origines. Cependant, c'était impressionnant de voir comme ce monde était différent de l'autre. Les objets étaient aussi ingénieux les uns des autres... Les chaudrons auto-touillant, des grimoires qui lisaient les recettes à voix haute, des habits adaptés à l'élevage des dragons ou des cache-oreilles insonorisés... Je ne pouvais pas m'empêcher de regarder de tous côtés, je voulais tout découvrir. Mais j'avais sept ans pour le faire et prouver ma valeur. Elle m'acheta un hibou Grand-Duc femelle du doux nom de Ríoghnach. Quelque chose dans son regard et son attitude m'avait inspirée.
Les années à Poudlard étaient incoparables face aux deux établissements que j'ai fréquenté. Pour la première fois depuis bien longtemps, je retrouvais le bonheur d'avoir des amis. Je me reconstruisais, même si ce n'était pas évident. Même si ce n'était pas ma matière préférée, j'étais plutôt performante en cours de sortilèges, mais je préférais surtout quand il était question de précision, les conséquences de mon entraînement à l'arc sans doute. J'avais le choix de ma destinée et je visais haut. L'élite. Et bien sûr, je me donnais les moyens d'y parvenir, à mon habitude. Mais j'osais m'affirmer, chose nouvelle. Je ne compte plus les fois où j'ai répondu aux professeurs pour argumenter sur ma vision du cours. Injustice, erreur... Si quelque chose ne me convenait pas, j'intervenais. Dans le respect de mon intervenant mais pas celui de son statu. Ce qui en agaçait certains.
Avec les élèves, ce n'était différent, juste plus poussé. Rien ne devait s'opposer. Outrepassant mes droits si je m'en octroyais davantage, je n'acceptais aucun obstacle. C'était mieux quand les adultes n'en savaient rien, bien sûr. La fois où j'ai cassé ma baguette, suite à un lamentable échec de Confundo sur une Gryffondor de mon âge qui m'énervait particulièrement depuis des mois, il a bien falut que je m'explique. Malheureusement, face à son témoignage, mon excuse n'a pas vraiment fait le poids...
J'ai d'ailleurs, par la suite, du m'en racheter une nouvelle. Mon véritable caractère s'étant enfin libéré, les matériaux de celle qui me choisit étaient considérablement différents. Il s'agit de celle que j'ai actuellement. Apparament, le fabricant avec reçu des épines de monstre du Fleuve Blanc, que seule une personne, désormais morte, savait récolter. Cette aliance explosive avec le bois de houx en faisait une baguette puissante qui me comblait. Son profil était plus élégant, plus fin et épuré que la précédente. J'avais le sentiment qu'elle me comprenait, elle. C'est à partir de ce moment que j'ai commencé à lui parler. L'autre ? Un simple échauffement pour débuter.
C'est également à cette période que ma mère m'apprit, par le biais de Ríoghnach, qu'elle s'entendait bien avec un homme, un certain Jeremy. Je craignais la jalousie à la lecture d'une annonce de ce type, mais je ne ressentais que de la joie. Du moins, tant qu'il ne devenait pas mon beau-père. Je me réjouissais du sourire de ma mère, chaque fois que je la voyais, pendant les vacances, mais jamais je n'accepterai un moldu comme beau-père. Mon père était un sang-pur, comment pourrait-il lui arriver à la cheville ? Dans quelques années, il aura disparu lui aussi, alors non. Je ne voulais pour rien au mondre être lié à lui.
En décembre cependant, ils pronnoncèrent leurs vœux. Je ne pouvais pas m'écrouler, mais c'était peut-être le pire jour de ma vie. Par ailleurs, mon père biologique n'était pas marié à ma mère... Ils n'ignoraient pas ce que je pensais de cette union, mais il y avait une trève pour la journée. Dès le lendemain, je me suis mise à le haïr de toute mes forces. Ce qui m'étonna, c'était la facilité avec laquelle je le fis.
J'avais par ailleurs pris une décision : je ne rentrerais plus chez moi. Pour les vacances, je resterai à Poudlard, l'été, je trouverais un job à Pré-au-Lard ou à Londres. Je ne voulais rien avoir à faire avec ce Moldu. Quand j'avais besoin de réconfort, je portais ma main à mon épaule en me rappelant que, quoi qu'il en était, Midas Selvyn restait mon père. Il m'avait laissé ce tatouage, son sang et son nom. Même si je ne me souviendrais pas de son visage si je n'avais pas eu cette photographie au cadre fissuré.
Derrière l'écranPseudo/Prénom : Nantosuelte, Blanche, mais aussi Rebecca ^^ Âge réel : 17 ans
Avez-vous déjà fait du RPG sur forum ? Non ? *tousse* Bon, ok, je dirais que j'ai eu un millier de comptes en tout... Souhaitez-vous être parrainé(e) ? Non merci ^^'
Hobbie(s) : Equitation, musique, codage Série(s) préférée(s) : Euh... Demain nous appartient, je crois que j'avais déjà répondu ça sur mon ancienne fiche... Film(s) préféré(s) : Harry Potter, Hunger Games, Time out... Livre(s) préféré(s) : Harry Potter, Hunger Games, Labyrinthe, La saga des quatre éléments, La Guerre des Clans...
Comment avez-vous connu le forum ? Par Rebecca... Euh, à vrai dire je ne sais plus... *consulte l'autre fiche* Recherche via Forumactif Qu'en pensez-vous ? Absolument super !
Si vous avez lu le règlement, vous connaissez sans doute le mot de passe... Quel est-il ?
Dernière édition par Eriu Selwyn le Mar 17 Juil - 15:35, édité 1 fois |
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Âge : 1000 ans Points : 0
Le Choixpeau Magique
| Re: Eriu Selwyn - Mar 17 Juil - 19:51 | | |
f COLLÈGE POUDLARD, ÉCOLE DE SORCELLERIE Directeur : Albus Dumbledore Commandeur du Grand-Ordre de Merlin Docteur ès Sorcellerie, Enchanteur-en-chef, Manitou suprême de la Confédération internationale des Mages et Sorciers
Chère madame Selwyn,
Nous avons le plaisir de vous informer que vous bénéficiez d'ores et déjà d'une inscription au collège Poudlard.
Vous trouverez ci-joint la liste des ouvrages et équipements nécessaires au bon déroulement de votre scolarité.
La rentrée étant fixée au 1er septembre, nous attendons votre hibou le 31 juillet au plus tard.
Veuillez croire, chère madame Selwyn, en l'expression de nos sentiments distingués.Minerva McGonagall Directrice-adjointe |
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