Haïkus, quatrains, alexandrins, on ne sait plus trop - Sam 5 Aoû - 15:10
Danser à n'en plus pouvoir Lions trompés au profit des rusés L'euphorie te dessine un sourire éclatant
La pomme dans ta main Crucifixition de mes écrits Peut-être la Joconde est Vénitienne Insaisissable, ta gondole passe sans bruit devant moi Un jour, moi aussi, j'irai là-bas
Tu changes, sans effort, tes traits, tes cheveux, ta personne Je chante, sans effort, la langue de mes aïeux Diplomatie, toujours, n'oublie pas ce concept Où tu pourrais bien te retrouver sans tête Nick Quasi-Sans-Tête Ou gare Qu'il n'arrive rien à ta si jolie tête
Association inédite La borgne, reine au pays des aveugles Nous emmène au paradis du sucre et des gourmands
Si distante et pourtant familière Tu croit qu'on se connait dans une autre de nos vies Crois-tu qu'on se connaisse dans une vie parallèle? Préfète aux cheveux sombres Belle comme la grande sœur que je n'ai jamais eue
Les eaux du lac renvoient ton reflet Trouble, dans notre Salle Commune Ta beauté entachée par quelque chose de noir
Claquent tes pas dans nos couloirs Les corps changent leur axe à ton passage Moins brun que toi, ton prince semble choisi The wanna be Queen of the Slytherins
Malgré vous peut-être vous m'avez adoptée Le couvre-chef miteux ne s'était pas trompé Comme un poisson dans l'eau, la formule est mauvaise Parmi tous ces serpents j'évolue à mon aise Rien n'est jamais si sombre qu'on ne puisse regarder Vous savez le courage d'affronter vos noirceurs Aussi le prix qu'on paye pour toucher la grandeur Sept années à donner à cette grande Maison Je les donnerai dix fois pour de tels compagnons
Haïkus, quatrains, alexandrins, on ne sait plus trop